Cohésion de l’équipe System’D
C’est le temps des premiers gels. Alors il faut bien se couvrir pour assurer la suite du chantier nocturne de System’D les mardis et les vendredis soirs autour du char La Liberté s’enchaîne, La Liberté sans chaînes.
Pas de répit pour System’D, le chantier nocturne de l’automne 2019 va bon train. Une grande partie du gros œuvre du char sera prête, avant le basculement dans l’année 2020.
Pour atteindre les objectifs prévus, il est indispensable que la cohésion de l’équipe soit totale. Chacun assume sa responsabilité avec la même passion et le même désintéressement, actif ou retraité.
Scanner System’D
Notre photographe Bernard a pris soin de suivre la fabrication du char jusque dans les plus infimes détails. Les photos montrent avec précision chaque action de l’équipe System’D comme dans un film d’animation, ou comme s’il s’agissait de scanner le chantier nocturne de System’D.
Sculpture de la seconde main
Et voici la seconde main géante. Les deux mains s’élèveront bientôt et se rapprocheront de la sphère comme pour la saisir.
La sculpture du polystyrène fait retomber sur le sol et les vêtements une neige artificielle particulièrement adhérente.
La barre
Désormais, la barre est équipée de toutes ses clefs. Reste à trouver celle qui permettra d’ouvrir la serrure vers la liberté.
Kits lumière
Pendant ce temps, les électriciens posent les premiers éléments du kit lumière sur la main terminée afin qu’il en épouse exactement toutes les formes.
Collage du papier
Le collage du papier sur les anneaux de la sphère prend du temps parce qu’il faut couvrir à chaque fois quatre faces, et le collage doit être le plus appliqué possible : pas de plis, pas de bosses.
Table élévatrice
La table élévatrice qui soulèvera la sphère est désormais fonctionnelle.
Reportage photos Bernard
Le chargement des photos peut prendre du temps.
Les galériens et System’D
Comme dans cette chanson, les galères, les chaînes – seront évoquées sur le char. Cette vidéo est aussi un hommage à Fred Mella, soliste des Compagnons de la Chanson, décédé au cours de ce mois. Il s’agit d’une adaptation française d’une chanson russe par Maurice Druon et le père de Michel Polnareff, Léo Poll : « Le Galérien ».
Toujours, toujours, tu rameras quand tu seras aux galères !
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