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Tout sur System’D , Les Actualités du Carnaval de Cholet, Photos et Videos! (Qui sommes nous ?)
Du Médoc à l’Anjou Le 30 décembre 2020, des bénévoles de Pauillac (33 / Gironde) sont venus à Saumur récupérer une partie des chars saumurois. Et pourtant Pauillac n’est pas la porte à côté de Saumur. Mais les deux villes partagent une même passion, celle des bons crus de grande réputation ! Voyage en « Carnavalie » (suite) : Pauillac Pauillac se situe sur la rive gauche de la Gironde. Chaque année (normale) les Paullacaises et les Pauillacais organisent un carnaval en avril. En cette année 2020, il devait avoir lieu le 4 avril sur le thème : « Le carnaval fait son cinéma ». Il finira bien par arriver le jour de faire son cinéma ! Après le clap de fin à Saumur Suite à la dissolution du comité des fêtes de Saumur (2 septembre 2020), le démontage des chars qui restaient dans deux hangars à chaque extrémité de la ville était inéluctable. Les bénévoles se sont mis à l’ouvrage, conservant le souvenir des fêtes saumuroises qui réjouirent des générations avant la seconde Guerre mondiale, puis de 1946 à 2019 : Défilés fleuris, fêtes folkloriques, Géants, Grandes Parades, Festivals de musiques militaires… Prospection Contrairement à de nombreuses autres villes, il n’était pas dans les habitudes saumuroises de vendre des chars à d’autres comités. Mais comme il n’était pas possible de se résoudre à tout perdre de ce qui restait des chars encore debout, il devenait souhaitable de rechercher des villes candidates. C’est ainsi que le comité de Pauillac, entre autres, s’est proposé de reprendre une partie des décors de ces chars. Plus de 300 Km entre les deux villes Dans la nuit hivernale, dès la fin du couvre-feu, un camion-benne de Pauillac a pris la route au matin du 30 décembre 2020 pour rejoindre les quartiers nord de Saumur et plus précisément le hangar qui accueillait la construction des chars saumurois de la commune de Saint-Lambert-des-Levées et du quartier des Ponts. De l’Anjou au Médoc À 11h15, son chauffeur et son accompagnateur, Dominique Minois, président de l’association « Chouette on le fait ensemble » ont été accueillis par les bénévoles du quartier des Ponts et de Saint-Lambert. Le chargement de la benne était terminé une heure plus tard. Le véhicule, bien chargé, pouvait, sous le soleil, reprendre la route dans le sens du retour après un échange amical et réciproque de produits...
Virus Covid y es-tu ? Le 18 décembre, c’était donc le jour de la seconde reprise. Pas la nuit, puisque désormais tout le monde est censé être chez soi à se morfondre devant les annonces tristounettes que les médias distillent. Depuis longtemps, les araignées ont pris le pouvoir dans le hangar des carnavaliers, mais la grande question qui se pose est celle-ci : « Virus covid y es-tu ? » Fini le temps d’avoir peur du grand méchant loup… car dans le hangar, si Virus covid y était, il nous mangerait ! De reprise en reprise Bernard a donc eu le privilège d’entrer de nouveau dans le sanctuaire des chars choletais en passe de devenir des momies, car il se pourrait bien qu’un nouveau confinement se profile à l’horizon pour détourner le vif attachement que le virus nous porte depuis près d’un an. L’art de porter le masque De tout temps, les masques ont permis de se cacher. Alors, chez les carnavaliers, les équipes s’entremêlent… La Grande Aventure continue Malgré l’adversité, la grande aventure des carnavaliers a continué de se faufiler dans les méandres de l’histoire de cette année maudite. En cette fin de parcours 2020, en voici la chronique semaine après semaine… Quelques repères en 2020 Parmi les 53 articles et quelques nouvelles pages de 2020, voici le rappel de quelques repères : La nuit du bal masquéLa nuit de la soudurePortes ouvertesLes enchères des carnavaliersSortie réussie System’DPhotos du char début avrilPremière reprise Vœux L’année 2021 qui se présente à la porte est une grande inconnue. Osera-t-on se souhaiter une bonne année sans crainte de déchaîner les forces obscures? Il est au moins souhaitable que 2021 ne soit pas pire que 2020. Ce serait déjà bien… Prochain article : Le Médoc et...
Joyeux Noël 2020 Sans le calendrier, nous serions loin de penser que les fêtes de fin d’année approchent. À toutes les carnavalières, à tous les carnavaliers, à tous les artistes privés de leurs spectateurs, joyeux Noël 2020, quand même et quoi qu’il arrive! Petit cadeau : cette video assurée sans virus. En attendant de trôner au sommet du char – du vrai char, un jour… peut-être – La maquette de la sphère armillaire a trouvé un nouveau rôle au sommet d’un manège « fait maison ». Miniatures et masques Pour faire bonne mesure, les miniatures ont aussi adopté le masque. Mais accueillir le Père Noël et faire la fête en miniature, c’est sans risques ! Un petit tour et puis s’en va Quand le 25 septembre, les carnavaliers ont pu de nouveau s’approcher de leurs chars, ils n’imaginaient certainement pas que leur plaisir serait de courte durée. Le 30 octobre, magasins fermés, restaurants en berne et chacun chez soi. pour un mois et demi. Dans toutes les villes de carnaval, Les portes des hangars où patientent les chars sont à nouveau fermées. Liberté conditionnelle Alors que le décompte de l’épidémie atteint soixante mille victimes en France, le 15 décembre, une liberté fragile, contrôlée par le couvre-feu, permet à nouveau de rêver et de circuler. Pourtant des signes alarmants de recrudescence de l’épidémie sont partout détectés malgré la course aux tests et malgré l’application « Tousanticovid ». Mais un espoir se fait jour avec l’annonce d’un vaccin dont il est prouvé qu’il sera efficace pour faire barrage au covid 19, mieux que toutes les mesures déjà prises, dont l’une des plus difficiles à vivre est l’éloignement contraint de leurs proches des personnes les plus vulnérables. Il faut profiter cependant du moment présent, sans trop faire de plans sur la comète pour Noël et le nouvel an. Il était prévu de se retrouver dans le hangar pour celles et ceux qui le désirent, équipe par équipe, du moins pour celles et ceux qui ne travaillent pas, à partir du vendredi 18 décembre. Demain est toujours un autre jour… Des photos de la seconde reprise pour bientôt… En cette période de fêtes ternie par les conséquences de l’épidémie, nous avons une pensée pour Philippe, Fanny et toute leur famille qui pleurent le décès de leur père et grand-père. Souhaitons-leur malgré tout un Noël de paix et...
7e Mi-carême de Cholet – 17 mars 1912 Public et ravissantes devantures Ces photos de la 7e mi-carême de Cholet sont prises le 17 mars 1912 sur l’actuelle place Alexis Guérineau, à la jonction entre l’avenue Léon Gambetta et la rue Nationale. Derrière la foule nombreuse des spectateurs, des magasins aux belles devantures devant lesquelles on pouvait au moins rêver à défaut d’acheter. Le public endimanché En ce jour de mi-carême (sous la pluie) les spectateurs portent des costumes stricts. Pas de déguisements. Les chapeaux des dames sont de ceux qu’on attend davantage sur un hippodrome que dans un carnaval. Quelques uns portent des plumes, de quoi chatouiller le voisin de devant, sans en avoir l’air. Dans la foule, quelques femmes arborent la coiffe ancestrale et traditionnelle des jours de fête. Plus sobres sont les chapeaux et les casquettes de ces messieurs, selon la classe sociale à laquelle ils appartiennent. Sur le rebord de la fenêtre, trois enfants défient l’équilibre. Heureusement, maman veille. Dans l’encadrement de la fenêtre, il y a même un képi, comme dans une saynète de guignol. Les ravissantes devantures Dans l’ordre, de gauche à droite : la banque Crédit Lyonnais, la charcuterie, le portraitiste, l’horloger-bijoutier, le laboratoire d’analyses… Comme un peu partout dans les villes et les villages, les devantures de bois sculpté seront remplacées au profit de modes éphémères ou disparaîtront définitivement. Portraitiste C’est en cet endroit que réside le photographe Louis Héon. Cf page spéciale : Photographe Louis Héon. La charcuterie deviendra plus tard l’atelier et le magasin du photographe. Bijoux Fix L’horloger-bijoutier fait savoir, par son enseigne, qu’il vend des bijoux Fix dont la solidité est symbolisée par une armure. L’affaire a été fondée en 1829 par François-Auguste Savard. Il est l’inventeur du bijou plaqué or laminé. Notre commerçant doit proposer son catalogue à sa clientèle aisée : « Pour faire votre choix, consultez le catalogue chez les bijoutiers. Vérifiez le poinçon Fix sur chaque bijou. » affirme la publicité de la Belle Époque. La même place aujourd’hui, insipide Bormes-les-Mimosas – Voyage en « Carnavalie » (suite) Bormes-les-Mimosas, dans le Var, compte un peu plus de huit mille Borméennes et Borméens, fiers de leur corso fleuri. Le centième : le 23 février 2020. (À proximité de la ville se trouve le Fort de Brégançon.) En 1920, pour fêter le printemps, des ânes et des mulets furent ...
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