La liberté pleure, oui, et elle a de bonnes raisons de pleurer. Jamais elle n’a été tant enchaînée dans le monde. Elle l’était déjà dans les conflits guerriers et politiques. La voici partout enchaînée par la maladie.
La Liberté pleure sur l’humanité désemparée
Ce n’est pas un envahisseur cosmique qui a envahi le monde. Il a suffi d’un virus foudroyant, invisible, –SARS-CoV-2 ou Covid-19 – pour paralyser l’humanité. Et plus d’autre choix que de se calfeutrer dans les maisons, les immeubles et d’attendre.
Cependant, de nombreuses professions s’exposent malgré tout au danger de la contagion pour porter secours, soigner, alimenter, éviter le désordre.
La Liberté pleure sur l’humanité malade
Si les Français se sont précipités sur les rouleaux de papier-toilette, de nombreux américains se sont rués chez les marchands d’armes. En 2020, une épidémie peut-elle donc rendre l’humanité folle au point de susciter le « chacun pour soi » et la haine ? D’autant que rien n’arrête ni la bêtise ni les vandales et ceux-ci, sous prétexte de faire ce qu’ils veulent salissent la liberté. La liberté à de bonnes raisons de pleurer, oui…
La liberté pleure sur nos joies éteintes
Toute fête est désormais rangée dans les placards et pour longtemps. Les enfants, qui grandissent vite, auront loupé une marche de leur vie et c’est beaucoup dans la vie d’un enfant. Nous leur devons beaucoup d’attention et nous leur devrons beaucoup de jours de fête, pour assécher les larmes de la liberté.
Aura-t-on assez d’audace pour leur créer un monde nouveau et plus beau ? Pourrons-nous, ou celles et ceux que nous avons vu grandir, être les flambeaux d’une liberté sans chaînes ?
La liberté toujours…
En attendant des jours meilleurs qui sont encore loin de nous, il reste toujours possible de s’évader par l’imagination. Le site de System’D vous invite à relire et revivre le carnaval de Cholet au travers des pages photos innombrables, les pages vidéos et bien sûr les pages Histoire du carnaval de Cholet (et d’ailleurs).
De temps en temps, nous continuerons d’ajouter des aventures passées de nos hauts faits d’armes de carnavaliers.
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